FLOW612, installation à danser pour le jeune public
FLOW 612 est une expérience musicale, chorégraphique et cinétique, imaginée pour le jeune public de 6 à 12 ans.
Son titre est inspiré par l’idée de couler, de laisser faire, du verbe to flow, et un clin d’oeil à la génération des 6-12 ans, devenu 612, chiffres contenus dans l’année 2016. Objet multimédia à danser, FLOW 612 est un dispositif numérique mêlant le son et la lumière dans un décor végétal de jungle imaginaire. L’ensemble est constitué d’une structure métallique circulaire sur laquelle est fixée une toile imprimée dont la révélation des motifs évolue au cours d’un cycle lumineux de vingt minutes.
Suite de tableaux, de jeux d’espaces sonores et lumineux, FLOW 612 est une invitation pour les enfants à danser librement sur les sons produits en partie par leurs mouvements via 48 capteurs au sol et à observer les changements chromatiques de la toile.
FLOW 612 a été conçue lors d’une résidence de Daniel Larrieu à l’invitation de Pierre Perrin, directeur de l’école élémentaire Pierre Budin située dans le quartier de la Goutte d’Or à Paris 18e.
Pour la conception de FLOW 612, les élèves ont participé à la conception d’une partie des dessins composant la toile imprimée et des voix utilisées dans la musique. Ils vont découvrir l’œuvre finalisée présentée au sein de l’école du 10 juin au 4 juillet prochain.
Cette installation originale est proposée dans le cadre d’écoles, de lieux de spectacle vivant et de festivals présentant des dispositifs numériques innovants et transdisciplinaires et accueillant le jeune public. La formation à la médiation est proposée par des danseurs de la compagnie. Si elle est conçue pour les enfants jusqu’à 12 ans, à n’en pas douter, les plus grands auront aussi envie de s’emparer de FLOW 612.
Son titre est inspiré par l’idée de couler, de laisser faire, du verbe to flow, et un clin d’oeil à la génération des 6-12 ans, devenu 612, chiffres contenus dans l’année 2016. Objet multimédia à danser, FLOW 612 est un dispositif numérique mêlant le son et la lumière dans un décor végétal de jungle imaginaire. L’ensemble est constitué d’une structure métallique circulaire sur laquelle est fixée une toile imprimée dont la révélation des motifs évolue au cours d’un cycle lumineux de vingt minutes.
Suite de tableaux, de jeux d’espaces sonores et lumineux, FLOW 612 est une invitation pour les enfants à danser librement sur les sons produits en partie par leurs mouvements via 48 capteurs au sol et à observer les changements chromatiques de la toile.
FLOW 612 a été conçue lors d’une résidence de Daniel Larrieu à l’invitation de Pierre Perrin, directeur de l’école élémentaire Pierre Budin située dans le quartier de la Goutte d’Or à Paris 18e.
Pour la conception de FLOW 612, les élèves ont participé à la conception d’une partie des dessins composant la toile imprimée et des voix utilisées dans la musique. Ils vont découvrir l’œuvre finalisée présentée au sein de l’école du 10 juin au 4 juillet prochain.
Cette installation originale est proposée dans le cadre d’écoles, de lieux de spectacle vivant et de festivals présentant des dispositifs numériques innovants et transdisciplinaires et accueillant le jeune public. La formation à la médiation est proposée par des danseurs de la compagnie. Si elle est conçue pour les enfants jusqu’à 12 ans, à n’en pas douter, les plus grands auront aussi envie de s’emparer de FLOW 612.
Diffusion
7 au 15 avril 2016 : Création, Festival Nanodanses, CDC Toulouse
1 au 5 juin 2016 : Festival Les Bains Numériques, Centre des arts d’Enghien-Les-Bains
10 juin au 4 juillet 2016 : École élémentaire Pierre Budin, Paris XVIIIe, ouverture publique, vernissage de 18 à 21h le 10 juin, puis sur rdv
10 au 28 septembre 2016 : LUX scène nationale Valence, Biennale de la Danse de Lyon
14 octobre au 5 novembre : Halles de Schaerbeek, Bruxelles
23 novembre au 10 décembre 2016 : Festival Festiv’Anges, KLAP Maison pour la danse à Marseille
3 au 13 janvier 2017 : Le grand R La Roche-sur-Yon
30 janvier au 4 février : Festival Pharenheit, CCN Le Havre
3 mars au 14 mars : Pôle Sud, Strasbourg
18 mars au 31 mars : Festival KIDANSE !, CDCN Hauts-de-France, Château-Thierry
20 avril au 4 mai : Le Prisme, Élancourt
12 au 22 décembre : Scène Nationale d’Orléans
21 février au 3 mars 2019 : Festival Wondeland, Centre Culturel André Malraux, Scène Nationale de Vandœuvre-lès-Nancy
25 et 26 avril : Théâtre de l'Arsenal, Val de Reuil
20 novembre au 3 décembre : Le Quai, Angers, scolaire et tout public
Conception artistique : Daniel Larrieu
Scénographie, Dessins : Apolline Couverchel, Benjamin Favrat
Musique : Antoine Herniotte
Processus interactif et lumière : Gauthier Haziza
Réalisation, installation, régie : Franck Jamin, Christophe Poux
Transmission à la médiation : Jérôme Andrieu, Agnès Coutard
Impression toile : Scanachrome
Production : Compagnie Astrakan sur une invitation de l’école Pierre Budin en 2015-2016 avec le soutien de la fondation agnès b., la Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris, la circonscription de l’Éducation nationale de la Goutte d’Or.
Coproductions : CDCN Hauts-de-France, CDCN Toulouse, Le Centre des arts d’Enghien-les-Bains, LUX scène nationale Valence, Le Grand R à La Roche-sur-Yon, KLAP, Maison pour la danse à Marseille, SCENE44 . n + n Corsino à Marseille.
Ce projet a reçu le soutien du DICRéAM.
La compagnie Astrakan reçoit le soutien de la DRAC Ile-de-France et du conseil départemental du Val d’Oise. Elle est associé au CDA d’Enghiens-les-Bains de 2016 à 2019.
Daniel Larrieu est artiste invité à La ménagerie de verre pour l’ensemble de ses projets.
Merci à Pierre Perrin, directeur de l’école Pierre Budin, à l’ensemble des professeurs et élèves de l’école, à Mathias Coullaud, à Dominique Brunet et Marc Piéra de Comportements-Sonores l’Agence et au Théâtre National de Chaillot.
ORIGINE DU PROJET
« L’école élémentaire Pierre Budin, à Paris XVIIIe, développe depuis 5 ans des résidences d’artistes. Ces invités s’installent pour une année dans l’école et disposent d’un atelier où ils élaborent un projet qui met en relation les enfants avec leur démarche artistique. Loin de produire une forme d’obligation pédagogique, cette seule présence en actes et dans la durée permet une capillarité interâges et disciplines et crée des échanges sans objectif direct où s’enrichissent les démarches de chacun, de l’enfant à l’artiste. Le regard de l’un est, d’une certaine manière, proche d’une situation d’apprentissage et de connaissances nouvelles de l’autre. Tout s’invente tous les jours dans la rencontre mutuelle. Le directeur de l’école, Pierre Perrin, m’a demandé, voilà deux ans, d’imaginer un projet. Le travail du chorégraphe consiste souvent à mettre en place, avec des interprètes, un travail d’exploration sur le corps et de construction de matériaux dansés. Mais sans lieu réel de travail, sans un espace dédié d’un studio de danse, il m’a semblé inopportun de faire un projet d’interprétation dansée par les enfants, en tous cas, pas directement. Voilà une manière détournée d’aller dans le geste dansé. » Ce projet s’est construit avec la participation des enfants, qui ont donné leurs avis sur les propriétés « dansables » des espaces, des rythmes, et sur le plaisir du geste. La construction de l’installation a été un sujet de partage et d’échange sur la manière de danser, sur les fondamentaux de la danse : marcher, se déplacer, s’arrêter, bouger, découvrir. Et puis elles, ils, ont aussi dessiné, découpé, inventé, parlé ensemble. C’est ainsi qu’est né le projet FLOW612.
Daniel Larrieu décembre 2015
DESCRIPTION ARTISTIQUE ET TECHNIQUE
Espace autonome constitué d’une structure métallique circulaire de 6 m de diamètre, 3m de hauteur, sur une herse circulaire accrochée au plafond. Toile imprimée, 17 m de longueur sur 2.90 m de hauteur, imprimée en bichromie, magenta, cyan, imprimée en un seul morceau, équipée de nouettes. Une petite partie des éléments a été réalisée avec la participation des enfants de l’école Pierre Budin. Les motifs de la toile sont révélés par le spectre chromatique de la lumière. 8 PARS LED équipés sur une herse intérieure suspendue, diamètre de 2m. Ouverture pour entrée du public de 1.80m de large. Sol équipé de 48 capteurs ; signal récupéré par capteurs directement reliés par programme crée sur Max MSP 7, 48 points de déclenchement. (Ce logiciel permet de construire des interactions modulables entre le son et la lumière.) Ordinateur et régie technique à l’abri des regards, derrière l’installation. Moquette de couleur qui protège le sol de capteurs invisibles du public dans l’installation.
DESSIN & TOILE, une aventure chromatique
Apolline Couverchel et Benjamin Favrat ont réalisé les dessins de la toile imprimée à partir de photographies de plantes tropicales auxquels sont associés des dessins des élèves de l’école Pierre Budin. Par la suite, ces dessins ont été traités en bichromie afin d’obtenir deux couches distinctes : un filtre magenta est appliqué sur l’ensemble du décor végétal auquel s’ajoute un filtre cyan révélant les motifs de feuilles dessinés par les enfants. Grâce à cette bichromie, l’ensemble de la composition interagit et se modifie au cours du temps.
Les motifs végétaux changent de couleurs, apparaissent puis disparaissent sous les influences chromatiques de la lumière.
Apolline Couverchel est artiste plasticienne et scénographe. Au sein du Studio Élémentaires, elle s’attache à enrichir la spécificité du langage scénique au contact de nouveaux territoires pour proposer des mises «hors-scène». Pratiques complémentaires au croisement de deux champs artistiques : les arts vivants et les arts visuels, les installations interactives, participatives ou contemplatives réalisées avec Gauthier Haziza convoquent des savoir-faire à la croisée de l’artisanat et des nouvelles technologies.
Benjamin Favrat, photographe et illustrateur, se passionne pour les nouveaux supports numériques autant que pour le dessin. Il utilise tout le potentiel créatif des nouveaux outils informatiques pour ses travaux. Comme photographe, il récolte les traces du projet et documente le travail de création et de résidence.
INTERACTION, un dialogue entre la lumière, la toile et le son
Le développement du système de gestion des interfaces multimédia a été confié à Gauthier Haziza. Il a réalisé une trame de capteurs dissimulés au sol permettant en temps réel de transcrire les déplacements des enfants. Les zones d’activation varient au cours des séquences afin d’explorer l’espace. Le traitement trichromie de la lumière (rouge, vert, bleu) compose avec la toile imprimée des illusions visuelles.
Artiste, designer interactif et concepteur lumière, Gauthier Haziza travaille aux côtés d’Apolline Couverchel au sein du Studio Élémentaires. Il est responsable de l’Atelier Lumière de L’ENSAAMA, Olivier de Serres.
MUSIQUE, une temporalité interactive
Antoine Herniotte, auteur, compositeur, acteur, réalise la création musicale. Il développe neuf paysages sonores activés par les déplacements dans l’espace. Il retraite dans une architecture sonore ludique des sons glanés et enregistrés à l’école avec les enfants : sifflements, voix, onomatopées, rires… La recherche musicale porte sur un équilibre entre le stable et l’aléatoire, le jeu et l’écoute, le désir de faire danser. En pratique, il s’agit pour l’enfant de chercher par ses déplacements la production de sons. Et ce sont ces mêmes gestes captés au sol qui en seront les déclencheurs. C’est un espace qui pousse à un engagement du corps et crée une musique unique pour chaque groupe, présente et agissant dans l’installation. La diffusion de la musique reçoit le soutien de Comportements-Sonores l’Agence.
Scénographie, Dessins : Apolline Couverchel, Benjamin Favrat
Musique : Antoine Herniotte
Processus interactif et lumière : Gauthier Haziza
Réalisation, installation, régie : Franck Jamin, Christophe Poux
Transmission à la médiation : Jérôme Andrieu, Agnès Coutard
Impression toile : Scanachrome
Production : Compagnie Astrakan sur une invitation de l’école Pierre Budin en 2015-2016 avec le soutien de la fondation agnès b., la Mairie du XVIIIe arrondissement de Paris, la circonscription de l’Éducation nationale de la Goutte d’Or.
Coproductions : CDCN Hauts-de-France, CDCN Toulouse, Le Centre des arts d’Enghien-les-Bains, LUX scène nationale Valence, Le Grand R à La Roche-sur-Yon, KLAP, Maison pour la danse à Marseille, SCENE44 . n + n Corsino à Marseille.
Ce projet a reçu le soutien du DICRéAM.
La compagnie Astrakan reçoit le soutien de la DRAC Ile-de-France et du conseil départemental du Val d’Oise. Elle est associé au CDA d’Enghiens-les-Bains de 2016 à 2019.
Daniel Larrieu est artiste invité à La ménagerie de verre pour l’ensemble de ses projets.
Merci à Pierre Perrin, directeur de l’école Pierre Budin, à l’ensemble des professeurs et élèves de l’école, à Mathias Coullaud, à Dominique Brunet et Marc Piéra de Comportements-Sonores l’Agence et au Théâtre National de Chaillot.
ORIGINE DU PROJET
« L’école élémentaire Pierre Budin, à Paris XVIIIe, développe depuis 5 ans des résidences d’artistes. Ces invités s’installent pour une année dans l’école et disposent d’un atelier où ils élaborent un projet qui met en relation les enfants avec leur démarche artistique. Loin de produire une forme d’obligation pédagogique, cette seule présence en actes et dans la durée permet une capillarité interâges et disciplines et crée des échanges sans objectif direct où s’enrichissent les démarches de chacun, de l’enfant à l’artiste. Le regard de l’un est, d’une certaine manière, proche d’une situation d’apprentissage et de connaissances nouvelles de l’autre. Tout s’invente tous les jours dans la rencontre mutuelle. Le directeur de l’école, Pierre Perrin, m’a demandé, voilà deux ans, d’imaginer un projet. Le travail du chorégraphe consiste souvent à mettre en place, avec des interprètes, un travail d’exploration sur le corps et de construction de matériaux dansés. Mais sans lieu réel de travail, sans un espace dédié d’un studio de danse, il m’a semblé inopportun de faire un projet d’interprétation dansée par les enfants, en tous cas, pas directement. Voilà une manière détournée d’aller dans le geste dansé. » Ce projet s’est construit avec la participation des enfants, qui ont donné leurs avis sur les propriétés « dansables » des espaces, des rythmes, et sur le plaisir du geste. La construction de l’installation a été un sujet de partage et d’échange sur la manière de danser, sur les fondamentaux de la danse : marcher, se déplacer, s’arrêter, bouger, découvrir. Et puis elles, ils, ont aussi dessiné, découpé, inventé, parlé ensemble. C’est ainsi qu’est né le projet FLOW612.
Daniel Larrieu décembre 2015
DESCRIPTION ARTISTIQUE ET TECHNIQUE
Espace autonome constitué d’une structure métallique circulaire de 6 m de diamètre, 3m de hauteur, sur une herse circulaire accrochée au plafond. Toile imprimée, 17 m de longueur sur 2.90 m de hauteur, imprimée en bichromie, magenta, cyan, imprimée en un seul morceau, équipée de nouettes. Une petite partie des éléments a été réalisée avec la participation des enfants de l’école Pierre Budin. Les motifs de la toile sont révélés par le spectre chromatique de la lumière. 8 PARS LED équipés sur une herse intérieure suspendue, diamètre de 2m. Ouverture pour entrée du public de 1.80m de large. Sol équipé de 48 capteurs ; signal récupéré par capteurs directement reliés par programme crée sur Max MSP 7, 48 points de déclenchement. (Ce logiciel permet de construire des interactions modulables entre le son et la lumière.) Ordinateur et régie technique à l’abri des regards, derrière l’installation. Moquette de couleur qui protège le sol de capteurs invisibles du public dans l’installation.
DESSIN & TOILE, une aventure chromatique
Apolline Couverchel et Benjamin Favrat ont réalisé les dessins de la toile imprimée à partir de photographies de plantes tropicales auxquels sont associés des dessins des élèves de l’école Pierre Budin. Par la suite, ces dessins ont été traités en bichromie afin d’obtenir deux couches distinctes : un filtre magenta est appliqué sur l’ensemble du décor végétal auquel s’ajoute un filtre cyan révélant les motifs de feuilles dessinés par les enfants. Grâce à cette bichromie, l’ensemble de la composition interagit et se modifie au cours du temps.
Les motifs végétaux changent de couleurs, apparaissent puis disparaissent sous les influences chromatiques de la lumière.
Apolline Couverchel est artiste plasticienne et scénographe. Au sein du Studio Élémentaires, elle s’attache à enrichir la spécificité du langage scénique au contact de nouveaux territoires pour proposer des mises «hors-scène». Pratiques complémentaires au croisement de deux champs artistiques : les arts vivants et les arts visuels, les installations interactives, participatives ou contemplatives réalisées avec Gauthier Haziza convoquent des savoir-faire à la croisée de l’artisanat et des nouvelles technologies.
Benjamin Favrat, photographe et illustrateur, se passionne pour les nouveaux supports numériques autant que pour le dessin. Il utilise tout le potentiel créatif des nouveaux outils informatiques pour ses travaux. Comme photographe, il récolte les traces du projet et documente le travail de création et de résidence.
INTERACTION, un dialogue entre la lumière, la toile et le son
Le développement du système de gestion des interfaces multimédia a été confié à Gauthier Haziza. Il a réalisé une trame de capteurs dissimulés au sol permettant en temps réel de transcrire les déplacements des enfants. Les zones d’activation varient au cours des séquences afin d’explorer l’espace. Le traitement trichromie de la lumière (rouge, vert, bleu) compose avec la toile imprimée des illusions visuelles.
Artiste, designer interactif et concepteur lumière, Gauthier Haziza travaille aux côtés d’Apolline Couverchel au sein du Studio Élémentaires. Il est responsable de l’Atelier Lumière de L’ENSAAMA, Olivier de Serres.
MUSIQUE, une temporalité interactive
Antoine Herniotte, auteur, compositeur, acteur, réalise la création musicale. Il développe neuf paysages sonores activés par les déplacements dans l’espace. Il retraite dans une architecture sonore ludique des sons glanés et enregistrés à l’école avec les enfants : sifflements, voix, onomatopées, rires… La recherche musicale porte sur un équilibre entre le stable et l’aléatoire, le jeu et l’écoute, le désir de faire danser. En pratique, il s’agit pour l’enfant de chercher par ses déplacements la production de sons. Et ce sont ces mêmes gestes captés au sol qui en seront les déclencheurs. C’est un espace qui pousse à un engagement du corps et crée une musique unique pour chaque groupe, présente et agissant dans l’installation. La diffusion de la musique reçoit le soutien de Comportements-Sonores l’Agence.