COLLECTION DANIEL LARRIEU
MADE FOR BEAUTY
La Collection Daniel Larrieu rassemble les activités plastiques, scéniques et de transmissions de Daniel Larrieu.
Elle porte de façon non linéaire, joyeuse et protéiforme une vision sur les questions indispensables du sensible
et des apprentissages dans la création.
MADE FOR BEAUTY
La Collection Daniel Larrieu rassemble les activités plastiques, scéniques et de transmissions de Daniel Larrieu.
Elle porte de façon non linéaire, joyeuse et protéiforme une vision sur les questions indispensables du sensible
et des apprentissages dans la création.
Octobre 2020, tourné au Gros Feu à Bellevaux, Haute-Savoie / Jérôme Andrieu, danse • Daniel Larrieu, montage, réalisation • Benjamin Favrat, images
Nous fêterons en 2022 les 40 ans de l’association Astrakan, dirigé par Daniel Larrieu. Les différentes expériences, qui vont de chorégraphies pour les scènes traditionnelles à un travail volontiers protéiforme, dans les espaces naturels investis comme lieu de répétitions (Chiquenaudes), de représentations (Waterproof, Marche, danses de verdure) et dialogue avec d’autres disciplines :
→ Plastique (FLOW 612, Ice Dream)
→ Théâtrale (Divine)
→ Et même horticole (Jym, un jardin à Chaumont-sur-Loire, LUX, et On prend de la graine à la CoOP, avec la conception d'un jardin pour la Maison des Métallos à Paris en juillet 2021).
Jamais figé dans le seul champ de la danse, tout en étant attaché à l’écriture du mouvement, Daniel Larrieu poursuit, après un parcours traditionnel (chorégraphies pour de grandes institutions tel que l'Opéra de Paris, le Frankfurt Ballet), son intérêt pour la rencontre et les collaborations, poussant le paradoxe apparent à passer du statut d’auteur à celui d’interprète :
→ Dominique Boivin, Thomas Lebrun, pour la danse ;
→ Gloria Paris (Divine), Titouan Huitric (Corps Étrangers), Théophile Dubus (Fin, Faim pour le théâtre) ;
→ Arnaud des Pallières, (Degas et Moi, 2019) pour le cinéma.
Durant 40 ans d'existence, la compagnie a été indépendante de 1982 à 1993 (répondant le plus souvent à des commandes - La Peau et les Os, Marchands, Bâtisseurs…), puis Daniel Larrieu occupe la direction du Centre chorégraphique national de Tours de 1994 à 2002. De retour à l'indépendance, le chorégraphe déconstruit le geste, l’installation, le film et le théâtre, en traversant le temps avec sa marque singulière.
Prenant le risque d’une forme d’éloignement de la convention d’une création annuelle, Daniel Larrieu choisit, sur le modèle de la jachère, de travailler vers une nouvelle écologie de la production par une construction d’actions et de projets qui puisent son inspiration sur l’ensemble du travail réalisé, en initiant de nouvelles expériences où se mêlent la transmission, la création et l’enseignement.
Daniel Larrieu fête ses 60 balais en dansant dans la scénographie de la création Littéral, ré-active Romance en Stuc, pièce pour 11 danseurs de 1985 et brode dans PLAY 612, avec le public, un dialogue sur le regard et le geste à l’image de la Boite-en-Valise de Duchamp.
Le chorégraphe terminera sa formation de praticien à la Méthode Feldenkrais en 2022. Il intègre ce travail à l’analyse du corps en mouvement. Il mène, simultanément, en Haute-Savoie, un travail sur le paysage par l’image et le film.
La Collection Daniel Larrieu rassemble et développe l’ensemble de ce parcours buissonnier depuis 1982.
→ Plastique (FLOW 612, Ice Dream)
→ Théâtrale (Divine)
→ Et même horticole (Jym, un jardin à Chaumont-sur-Loire, LUX, et On prend de la graine à la CoOP, avec la conception d'un jardin pour la Maison des Métallos à Paris en juillet 2021).
Jamais figé dans le seul champ de la danse, tout en étant attaché à l’écriture du mouvement, Daniel Larrieu poursuit, après un parcours traditionnel (chorégraphies pour de grandes institutions tel que l'Opéra de Paris, le Frankfurt Ballet), son intérêt pour la rencontre et les collaborations, poussant le paradoxe apparent à passer du statut d’auteur à celui d’interprète :
→ Dominique Boivin, Thomas Lebrun, pour la danse ;
→ Gloria Paris (Divine), Titouan Huitric (Corps Étrangers), Théophile Dubus (Fin, Faim pour le théâtre) ;
→ Arnaud des Pallières, (Degas et Moi, 2019) pour le cinéma.
Durant 40 ans d'existence, la compagnie a été indépendante de 1982 à 1993 (répondant le plus souvent à des commandes - La Peau et les Os, Marchands, Bâtisseurs…), puis Daniel Larrieu occupe la direction du Centre chorégraphique national de Tours de 1994 à 2002. De retour à l'indépendance, le chorégraphe déconstruit le geste, l’installation, le film et le théâtre, en traversant le temps avec sa marque singulière.
Prenant le risque d’une forme d’éloignement de la convention d’une création annuelle, Daniel Larrieu choisit, sur le modèle de la jachère, de travailler vers une nouvelle écologie de la production par une construction d’actions et de projets qui puisent son inspiration sur l’ensemble du travail réalisé, en initiant de nouvelles expériences où se mêlent la transmission, la création et l’enseignement.
Daniel Larrieu fête ses 60 balais en dansant dans la scénographie de la création Littéral, ré-active Romance en Stuc, pièce pour 11 danseurs de 1985 et brode dans PLAY 612, avec le public, un dialogue sur le regard et le geste à l’image de la Boite-en-Valise de Duchamp.
Le chorégraphe terminera sa formation de praticien à la Méthode Feldenkrais en 2022. Il intègre ce travail à l’analyse du corps en mouvement. Il mène, simultanément, en Haute-Savoie, un travail sur le paysage par l’image et le film.
La Collection Daniel Larrieu rassemble et développe l’ensemble de ce parcours buissonnier depuis 1982.
AGENDA 2021
L'agenda est bouleversé à cause de la crise sanitaire liée au COVID-19
L'agenda est bouleversé à cause de la crise sanitaire liée au COVID-19
Chiquenaudes & Romance en Stuc
Chiquenaudes - Créée en avril 1982 pour le concours de Bagnolet, 2e prix | 3 interprètes, 9 min
Romance en Stuc - Création initiale en 1985 au Festival d'Avignon | 11 interprètes, 55 min
12 juin 2021 - Festival Legs, Charleroi danse, Belgique
21 octobre 2021 - TAP, Théâtre Auditorium de Poitiers
COOP On prend de la graine
En juillet 2021, Daniel Larrieu tissera un paysage dans la Maison des Métallos, une toile végétale virtuelle et réelle, un récit du chorégraphe en jardinier. Cette CoOP sera l’occasion de réunir les deux pratiques de l’artiste : la danse et le végétal. En prenant au mot, la chorégraphe et amie de longue date, Stéphanie AUBIN, l’idée de "Prendre de la Graine", Daniel Larrieu propose une plongée dans un certain nombre d’installations plastiques à fréquenter pendant tout le mois de juillet 2021 et un ensemble d’activité ressourçantes liées à l’observation de la nature.
Dans ce mouvement de retour à la terre, Daniel Larrieu utilisera la Maison des métallos comme une zone verte, un jardin provisoire. On se met en culture, on bouture, on se repose, on boit des citronnades, on fait des photos de mauvaises herbes, on se promène dans le quartier. À la manière des peintures d’ateliers, il nous faudra rassembler les esquisses, les bouts d’images, les faire fleurir dans leurs microclimats respectifs.
Une série d’installations (Ice Dream, Flow612 et les Balais de la création Littéral), de rendez-vous et de spectacles (8 représentations de Play 612) dialogueront pendant tout le mois avec plusieurs points forts liés à la botanique, au jardin et à l’environnement.
Juillet 2021 - Maison des Métallos
→ TOUT SAVOIR DU LES FÈVES